célèbre gardien du Piton Tortue, observé pour la première fois le 12 juin 1891.
Tags: gardiens
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Aire de l’Observatoire
vaste espace occupant une dizaine d’hectares dans la plaine, faisant face au parking de Mare à Boue. En son centre se trouve l’Observatoire, une architecture silencieuse gigantesque. L’allée de pins le long du sentier est un signe manifeste de la

Aire de l’Observatoire
vaste espace occupant une dizaine d’hectares dans la plaine, faisant face au parking de Mare à Boue. En son centre se trouve l’Observatoire, une architecture silencieuse gigantesque. L’allée de pins le long du sentier est un signe manifeste de la

virage du Sage (le)
situé sur le chemin de la tortue et dessinant un tournant en angle droit sur le sentier dit « de Grande Randonnée » (GRR2). Repérable par une racine en forme de crapaud, ce changement de direction marque pour les observateurs, une nouvelle

virage du Sage (le)
situé sur le chemin de la tortue et dessinant un tournant en angle droit sur le sentier dit « de Grande Randonnée » (GRR2). Repérable par une racine en forme de crapaud, ce changement de direction marque pour les observateurs, une nouvelle

Géants (les)
considérés par les Silencieux comme l‘Ancienne Humanité. Hermaphrodites, hauts de plusieurs dizaines de mètres, voire de centaines ou plus, ils furent les habitants de l’île d’Eil-Nopt. Aujourd’hui disparus, les observateurs racontent que de nombreuses traces de leur existence passée sont

Géants (les)
considérés par les Silencieux comme l‘Ancienne Humanité. Hermaphrodites, hauts de plusieurs dizaines de mètres, voire de centaines ou plus, ils furent les habitants de l’île d’Eil-Nopt. Aujourd’hui disparus, les observateurs racontent que de nombreuses traces de leur existence passée sont

Bassin-aux-Femmes
mentionné comme « lieu enceint d’étroits bassins » dans une ancienne édition des Cartes du Piton Tortue et symbolisé par un tétraèdre régulier inversé. La chanson traditionnelle attribuée à la mystérieuse Grand-Mère évoquée au chapitre précédent nous dévoile l’existence d’un bassin dédié

Bassin-aux-Femmes
mentionné comme « lieu enceint d’étroits bassins » dans une ancienne édition des Cartes du Piton Tortue et symbolisé par un tétraèdre régulier inversé. La chanson traditionnelle attribuée à la mystérieuse Grand-Mère évoquée au chapitre précédent nous dévoile l’existence d’un bassin dédié

fleur ombilicale (la)
localisée au Centre de l’Univers d’après les Silencieux et faisant le lien entre ses Deux Moitiés, visible et invisible. Représentée par le signe [fa], elle est un symbole de vie et d’évolution éternelle. Ce dessin de la grotte du Piton

fleur ombilicale (la)
localisée au Centre de l’Univers d’après les Silencieux et faisant le lien entre ses Deux Moitiés, visible et invisible. Représentée par le signe [fa], elle est un symbole de vie et d’évolution éternelle. Ce dessin de la grotte du Piton

passage des Douze (le)
ou passage d’En-Bas, situé sur le chemin de la tortue et dans la zone de la ravine du Bras Sec. Il est le plus couramment franchi par les observateurs qui se rendent au Piton Tortue. Selon la légende, cette porte fut

passage des Douze (le)
ou passage d’En-Bas, situé sur le chemin de la tortue et dans la zone de la ravine du Bras Sec. Il est le plus couramment franchi par les observateurs qui se rendent au Piton Tortue. Selon la légende, cette porte fut

Grand-Mère
femme au nom, à l’âge et à l’origine inconnus. Apparaissant et disparaissant à sa guise, elle apporte son aide aux observateurs désorientés. Pour ceux qui l’ont rencontrée au Piton Tortue, elle est aussi surnommée « la gardienne », « l’éclaireuse », « nène » ou « la

Grand-Mère
femme au nom, à l’âge et à l’origine inconnus. Apparaissant et disparaissant à sa guise, elle apporte son aide aux observateurs désorientés. Pour ceux qui l’ont rencontrée au Piton Tortue, elle est aussi surnommée « la gardienne », « l’éclaireuse », « nène » ou « la

Mi
signe-repère tracé par les observateurs dans des zones spécifiques du chemin de la tortue. Inspiré du schéma de la tor-toise, ce dessin éphémère représente dans son ensemble une partie de la marche imaginaire effectuée entre le Piton de la Source et

Mi
signe-repère tracé par les observateurs dans des zones spécifiques du chemin de la tortue. Inspiré du schéma de la tor-toise, ce dessin éphémère représente dans son ensemble une partie de la marche imaginaire effectuée entre le Piton de la Source et

Îles-Cités
au nombre de quatre le long de la diagonale globale, situées à égale distance les unes des autres, et apparaissant sur d’anciennes cartes d’observations de la fin du dix-neuvième siècle. De source silencieuse, les Îles-Cités dont l’une d’elle abriterait le

Îles-Cités
au nombre de quatre le long de la diagonale globale, situées à égale distance les unes des autres, et apparaissant sur d’anciennes cartes d’observations de la fin du dix-neuvième siècle. De source silencieuse, les Îles-Cités dont l’une d’elle abriterait le

pièce (la)
dite « pièce d’Eil-Nopt », perdue ou cachée par son propriétaire, et trouvée en 1976 entre les racines du Vieux Généreux. De quatre centimètres de diamètre, l’objet en métal troué en son milieu et qui s’apparente à une pièce de monnaie chinoise,

pièce (la)
dite « pièce d’Eil-Nopt », perdue ou cachée par son propriétaire, et trouvée en 1976 entre les racines du Vieux Généreux. De quatre centimètres de diamètre, l’objet en métal troué en son milieu et qui s’apparente à une pièce de monnaie chinoise,