
Aire de l’Observatoire
vaste espace occupant une dizaine d’hectares dans la plaine, faisant face au parking de Mare à Boue. En son centre se trouve l’Observatoire, une architecture silencieuse gigantesque. L’allée de pins le long du sentier est un signe manifeste de la

Aire de l’Observatoire
vaste espace occupant une dizaine d’hectares dans la plaine, faisant face au parking de Mare à Boue. En son centre se trouve l’Observatoire, une architecture silencieuse gigantesque. L’allée de pins le long du sentier est un signe manifeste de la

virage du Sage (le)
situé sur le chemin de la tortue et dessinant un tournant en angle droit sur le sentier dit « de Grande Randonnée » (GRR2). Repérable par une racine en forme de crapaud, ce changement de direction marque pour les observateurs, une nouvelle

virage du Sage (le)
situé sur le chemin de la tortue et dessinant un tournant en angle droit sur le sentier dit « de Grande Randonnée » (GRR2). Repérable par une racine en forme de crapaud, ce changement de direction marque pour les observateurs, une nouvelle

Géants (les)
considérés par les Silencieux comme l‘Ancienne Humanité. Hermaphrodites, hauts de plusieurs dizaines de mètres, voire de centaines ou plus, ils furent les habitants de l’île d’Eil-Nopt. Aujourd’hui disparus, les observateurs racontent que de nombreuses traces de leur existence passée sont

Géants (les)
considérés par les Silencieux comme l‘Ancienne Humanité. Hermaphrodites, hauts de plusieurs dizaines de mètres, voire de centaines ou plus, ils furent les habitants de l’île d’Eil-Nopt. Aujourd’hui disparus, les observateurs racontent que de nombreuses traces de leur existence passée sont

Bassin-aux-Femmes
mentionné comme « lieu enceint d’étroits bassins » dans une ancienne édition des Cartes du Piton Tortue et symbolisé par un tétraèdre régulier inversé. La chanson traditionnelle attribuée à la mystérieuse Grand-Mère évoquée au chapitre précédent nous dévoile l’existence d’un bassin dédié

Bassin-aux-Femmes
mentionné comme « lieu enceint d’étroits bassins » dans une ancienne édition des Cartes du Piton Tortue et symbolisé par un tétraèdre régulier inversé. La chanson traditionnelle attribuée à la mystérieuse Grand-Mère évoquée au chapitre précédent nous dévoile l’existence d’un bassin dédié

fleur ombilicale (la)
localisée au Centre de l’Univers d’après les Silencieux et faisant le lien entre ses Deux Moitiés, visible et invisible. Représentée par le signe [fa], elle est un symbole de vie et d’évolution éternelle. Ce dessin de la grotte du Piton

fleur ombilicale (la)
localisée au Centre de l’Univers d’après les Silencieux et faisant le lien entre ses Deux Moitiés, visible et invisible. Représentée par le signe [fa], elle est un symbole de vie et d’évolution éternelle. Ce dessin de la grotte du Piton

passage des Douze (le)
ou passage d’En-Bas, situé sur le chemin de la tortue et dans la zone de la ravine du Bras Sec. Il est le plus couramment franchi par les observateurs qui se rendent au Piton Tortue. Selon la légende, cette porte fut

passage des Douze (le)
ou passage d’En-Bas, situé sur le chemin de la tortue et dans la zone de la ravine du Bras Sec. Il est le plus couramment franchi par les observateurs qui se rendent au Piton Tortue. Selon la légende, cette porte fut

Grand-Mère
femme au nom, à l’âge et à l’origine inconnus. Apparaissant et disparaissant à sa guise, elle apporte son aide aux observateurs désorientés. Pour ceux qui l’ont rencontrée au Piton Tortue, elle est aussi surnommée « la gardienne », « l’éclaireuse », « nène » ou « la

Grand-Mère
femme au nom, à l’âge et à l’origine inconnus. Apparaissant et disparaissant à sa guise, elle apporte son aide aux observateurs désorientés. Pour ceux qui l’ont rencontrée au Piton Tortue, elle est aussi surnommée « la gardienne », « l’éclaireuse », « nène » ou « la

Mi
signe-repère tracé par les observateurs dans des zones spécifiques du chemin de la tortue. Inspiré du schéma de la tor-toise, ce dessin éphémère représente dans son ensemble une partie de la marche imaginaire effectuée entre le Piton de la Source et

Mi
signe-repère tracé par les observateurs dans des zones spécifiques du chemin de la tortue. Inspiré du schéma de la tor-toise, ce dessin éphémère représente dans son ensemble une partie de la marche imaginaire effectuée entre le Piton de la Source et

Îles-Cités
au nombre de quatre le long de la diagonale globale, situées à égale distance les unes des autres, et apparaissant sur d’anciennes cartes d’observations de la fin du dix-neuvième siècle. De source silencieuse, les Îles-Cités dont l’une d’elle abriterait le

Îles-Cités
au nombre de quatre le long de la diagonale globale, situées à égale distance les unes des autres, et apparaissant sur d’anciennes cartes d’observations de la fin du dix-neuvième siècle. De source silencieuse, les Îles-Cités dont l’une d’elle abriterait le

pièce (la)
dite « pièce d’Eil-Nopt », perdue ou cachée par son propriétaire, et trouvée en 1976 entre les racines du Vieux Généreux. De quatre centimètres de diamètre, l’objet en métal troué en son milieu et qui s’apparente à une pièce de monnaie chinoise,

pièce (la)
dite « pièce d’Eil-Nopt », perdue ou cachée par son propriétaire, et trouvée en 1976 entre les racines du Vieux Généreux. De quatre centimètres de diamètre, l’objet en métal troué en son milieu et qui s’apparente à une pièce de monnaie chinoise,

Le Marcheur
pièce de théâtre de Stéphane Gilles, publiée dans sa première édition en 2017 et dite aussi « le A du mArcheur ». Les neuf scènes jouées par neuf personnages se situent au Piton Tortue et dans ses alentours. Je me souviens qu’une

Le Marcheur
pièce de théâtre de Stéphane Gilles, publiée dans sa première édition en 2017 et dite aussi « le A du mArcheur ». Les neuf scènes jouées par neuf personnages se situent au Piton Tortue et dans ses alentours. Je me souviens qu’une

case fantôme (la)
vestiges d’une bâtisse abandonnée, aperçue approximativement au bord de la ravine du Petit Bras Noir, selon une ancienne carte du Piton Tortue. Dès l’année 1948, des observateurs nous décrivent cette découverte, avec croquis à l’appui : « De l’ancienne case, seules

case fantôme (la)
vestiges d’une bâtisse abandonnée, aperçue approximativement au bord de la ravine du Petit Bras Noir, selon une ancienne carte du Piton Tortue. Dès l’année 1948, des observateurs nous décrivent cette découverte, avec croquis à l’appui : « De l’ancienne case, seules

Géant (le)
principal gardien du Piton Tortue découvert le 20 juin 1892 et situé sur le layon à environ 1714 mètres d’altitude. Il est planté là sur le chemin à droite en montant (CU57), au garde-à-vous, paré de son bouclier et de sa

Géant (le)
principal gardien du Piton Tortue découvert le 20 juin 1892 et situé sur le layon à environ 1714 mètres d’altitude. Il est planté là sur le chemin à droite en montant (CU57), au garde-à-vous, paré de son bouclier et de sa

[bib]
« bête à huit pattes » qui, selon la cosmogonie silencieuse, « viendrait des étoiles ». Dessinée en grand sur le plafond d’une des grottes du Piton Tortue, l’animal qui évoque une araignée occuperait une place centrale dans la création de l’Univers. Le marron n’en

[bib]
« bête à huit pattes » qui, selon la cosmogonie silencieuse, « viendrait des étoiles ». Dessinée en grand sur le plafond d’une des grottes du Piton Tortue, l’animal qui évoque une araignée occuperait une place centrale dans la création de l’Univers. Le marron n’en

sabre (le)
découvert en 1982 dans la ravine du Bras Sec. D’une longueur de vingt-neuf centimètres, il s’agit du reste d’un modèle 32 Dumas à la lame brisée, datant du milieu du vingtième siècle. L’observateur fait confiance aux habitants du Piton Tortue. A

sabre (le)
découvert en 1982 dans la ravine du Bras Sec. D’une longueur de vingt-neuf centimètres, il s’agit du reste d’un modèle 32 Dumas à la lame brisée, datant du milieu du vingtième siècle. L’observateur fait confiance aux habitants du Piton Tortue. A

Plaine des Cafres
plateau d’altitude de l’île de La Réunion, situé entre le massif du Piton des Neiges et celui du Piton de la Fournaise, parsemé d’anciens cratères dont le Piton Tortue. Au début du dix-huitième siècle, Jean de la Roque écrit : « Entre

Plaine des Cafres
plateau d’altitude de l’île de La Réunion, situé entre le massif du Piton des Neiges et celui du Piton de la Fournaise, parsemé d’anciens cratères dont le Piton Tortue. Au début du dix-huitième siècle, Jean de la Roque écrit : « Entre

Chemins-qui-Croisent
symbolisés par le motif silencieux, une croix barrée dans un rond. Ils sont des points d’intersection ou de bifurcation, traversés par l’observateur sur le chemin de la tortue. Treize Chemins-qui-Croisent ont été répertoriés sur le parcours qui part de la

Chemins-qui-Croisent
symbolisés par le motif silencieux, une croix barrée dans un rond. Ils sont des points d’intersection ou de bifurcation, traversés par l’observateur sur le chemin de la tortue. Treize Chemins-qui-Croisent ont été répertoriés sur le parcours qui part de la

cornes (les)
sculptures en bois d’une trentaine de centimètres chacune, découvertes en 2012 sur les rives de la ravine du Petit Bras Noir, et évoquant la Vache-à-Bosse. Selon Stefan Hesse, la vache jouerait un rôle primordial dans la cosmogonie silencieuse. Le mythe

cornes (les)
sculptures en bois d’une trentaine de centimètres chacune, découvertes en 2012 sur les rives de la ravine du Petit Bras Noir, et évoquant la Vache-à-Bosse. Selon Stefan Hesse, la vache jouerait un rôle primordial dans la cosmogonie silencieuse. Le mythe